majeur » _builder_version= »4.17.4″ _module_preset= »default » title_level_font= »At_osmose_medium|||||||| » title_level_text_color= »#F8FCFF » title_level_font_size= »48px » title_level_font_size_tablet= »32px » title_level_font_size_phone= »24px » title_level_font_size_last_edited= »on|desktop » global_colors_info= »{} »][/et_pb_mc_title]
Ces dernières années, la question de la pollution extérieure s’est souvent retrouvée au coeur de l’actualité.
Mais depuis peu, les français s’intéressent de plus près à celle de la qualité de l’air intérieur.
Et les chiffres tendent à soutenir leurs préoccupations :
Nous passons en moyenne 80% de notre temps, soit 19h par jour, en intérieur : maison, bureau, transports, etc.
Or on sait aujourd’hui que la qualité de l’air intérieur est 5 à 10 fois moins bonne que celle de l’air extérieur.
Une situation longtemps méconnue mais qui commence à s’imposer dans le débat public.
Devenue un véritable enjeu sociétal, la qualité de l’air intérieur constitue le thème prioritaire emblématique du 4ème Plan National Santé-Environnement actuellement en cours d’élaboration. Car la pollution intérieure a également d’importantes retombées socio-économiques. Chaque année, elle serait responsable d’au moins 20 000 décès prématurés, soit une des premières causes de mortalité en France, et coûterait 19 milliards d’euros (1).
Si les pouvoirs publics ont rapidement mené des actions pour lutter contre la pollution extérieure, ils ont en revanche tardé à réagir face à la dégradation de l’air intérieur. Désormais bien conscient de ses impacts sanitaires, l’Etat a rendu obligatoire depuis 2018 la surveillance de la qualité de l’air dans certains établissements recevant un jeune public tels les crèches, maternelles et écoles primaires. Un dispositif étendu cette année aux collèges et lycées.
L’Ademe a identifié 3 sources responsables d’une mauvaise qualité de l’air intérieur :
- Les occupants et leurs activités
- Les équipements de chauffage, ventilation et climatisation mal entretenus
- Les materiaux (construction, décoration, ameublement)
Parmi ces sources, on retrouve ainsi 3 grandes familles de polluants :
Polluants particulaires : ventilation, chauffage, cuisson, bougie, encens, tabac.
Polluants biologiques : agents infectieux, allergènes, acariens, pollens.
Polluants chimiques : monoxyde de carbone, dioxyde de carbone, composés organiques volatils.
Les panneaux solaires photovoltaïques font partie des sources de production renouvelables d’électricité les plus utilisées et préférées des Français.
Avec près de 93% d’opinions positives sur l’utilisation de l’énergie solaire, vous êtes aujourd’hui dans la capacité de tendre vers l’indépendance énergétique.
Une qualité de l’air intérieur détériorée peut avoir de graves répercussions sur votre santé et celle de vos proches. Difficultés respiratoires, manifestations allergiques, aggravation des crises asmathiques, maux de tête, fatigue, irritation des yeux, du nez, de la gorge et de la peau, vertiges, etc. Ces symptômes doivent vous alerter sur la qualité de l’air de votre environnement. A long terme, on observe une augmentation des risques cardiovasculaires, des maladies rénales, des cancers du poumon et une détérioration des capacités cognitives.
La notion d’exposome est récemment apparue pour expliquer la manifestation de certaines maladies dues aux expositions nocives qu’un individu subit tout au long de sa vie. On sait aujourd’hui le rôle majeur joué par les facteurs environnementaux dans l’émergence de certains cancers.
Renouveler quotidiennement l’air de son intérieur, été comme hiver, fait partie des premiers gestes à adopter pour améliorer la qualité de l’air. Ouvrez vos fenêtres 10 minutes matin et soir pour laisser entrer l’air et aérer les pièces.
Néanmoins, si cette petite action est un bon début, elle se révèle très insuffisante pour assainir efficacement et durablement votre intérieur.
La VMC double flux permet de renouveler en continu l’air de votre logement. Elle fait entrer l’air neuf extérieur dans vos pièces par des entrées ouvertes et évacue l’air vicié par des bouches d’extraction. De plus, elle filtre l’air neuf et prévient ainsi l’entrée de polluants extérieurs dans votre maison. Conçue pour fonctionner en permanence, elle vous assure un débit d’air constant tout au long de la journée.
C’est actuellement un des dispositifs les mieux adaptés et les plus efficaces pour le traitement de l’air.
- Etude de l’Anses (Agence nationale de sécurité sanitaire) et du CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) portant sur les six principaux polluants : benzène, trichloréthylène, radon, monoxyde de carbone, particules et tabagisme passif. Publiée par l’OQAI (Observatoire de la Qualité de l’Air Intérieur), avril 2014.
- https://www.ademe.fr/sites/default/files/assets/documents/guide-pratique-un-air-sain-chez-soi.pdf